• Jurôjin, est à l’origine la divinité chinoise Shouxing représentant la longévité. On la dépeint sous les traits d’un vieillard s’appuyant sur un bâton accompagné d’une grue.


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  • Hotei, Il est vénéré dans certains monastères zen. Cette divinité semble être une représentation du bouddha Maitreya. On le représente sous les trait d’un homme gras et jovial levant ses bras en direction du ciel ou assis dans un sac contenant des trésors.


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  • Fukurokuju, C’est la divinité d’origine chinoise de l’étoile du sud. Elle incarne aussi la longévité, la virilité, la fécondité et de la sagesse. Elle est représentée sous les traits d’un vieillard barbu au crâne conique.


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  • ussi appelées « fuku no kami » ce sont les Sept Divinités du Bonheur. Cet ensemble de divinités fut constitué au XVII éme siècle et est souvent représenté dans des sculptures et peintures naviguant sur un bateau (le bateau des trésors, « takara-bune » (宝船)). Ce groupe rassemble des divinités d’origine Japonaise, chinoise et Indienne.

    Pour la pensée confucéenne chacune de ces divinités représente une vertu cardinale de l’homme : candeur, chance, dignité, gentillesse, magnanimité, popularité et longévité.

    Les sept divinités sont : Benzai-ten, Bishamon-ten, Daikoku-ten, Ebisu, Fukurokuju, Hotei et Jurôjin.

    L’association de l’ensemble de ces divinités constitue un important charme. Dans la nuit du 31 décembre on place sous les oreillers des enfants une représentation de ce groupe divin afin qu’ils leurs apporte une heureuse année. A la nouvelle année on donne souvent une enveloppe contenant de l’argent. Cette enveloppe de couleur rouge frappée du bateau des trésors, « takara-bune ». Selon la légende le groupe des 7 divinités apparaît le jour de la nouvelle année sur le bateau des trésors, « takara-bune » pour distribuer des présents aux personnes qui le méritent.


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  • Ebisu, est une divinité Shintô d’origine Japonaise. Sa filiation divine est incertaine. Pour certain, il serait le descendant d’Ôkunimushi no Mikoto, pour d’autre d’Izanagi et d’Izanami. On le représente revêtu d’un kimono tenant d’une main une canne  à pêche, de l’autre une daurade. Vénéré des pêcheurs et des marchands il incarne la prospérité et la santé. On le célèbre tous les ans, le 20 janvier (Ebisu-kô), dans les sanctuaires shintô qui lui sont consacrés (par exemple au sanctuaire Nishinomiya de Hyoho).


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