• Très sûr, le Japon présente tous les avantages des pays développés en en limitant les inconvénients.

    Très internationalisé et moderne, le Japon, et notamment les grandes agglomérations de Tokyo et Osaka, présentent tous les avantages propres aux pays développés en terme de services publics et d’infrastructures de transport. Même l’obstacle de la langue est compensé, dans la vie de tous les jours, par une qualité de service hors du commun. Enfin, l’insécurité est quasiment inexistante : le nombre de meurtres par 100.000 habitants n’est que de 1,1 (92% d’arrestation), contre 3,9 et 72,2% en France ou 5,6 et 62,4% aux Etats-Unis.


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  • Le Japon est le premier partenaire commercial de la zone asiatique et représente le marché de référence pour la région.

    En 2004, l’Asie représentait 45% des échanges de biens du Japon et 60% de son excédent commercial total, faisant de l’Archipel l’élément majeur du mouvement croissant d’intégration économique dans la région. Les relations économiques sont surtout très fortes avec la Chine, où les entreprises japonaises sont implantées en nombre et de plus en plus dans une optique de pénétration du marché et non plus uniquement de fabrication à bas coûts. Le partenariat avec des entreprises japonaises ayant une longue expérience en Chine peut être une stratégie d’approche de ce marché. Enfin, l’influence des tendances de consommation japonaises sur les pays voisins (Corée, Taïwan et même Chine) est notable. La proximité géographique fait de Tokyo une base sûre et bien située en Asie : Pékin est notamment à un peu plus de trois heures de vol et 62 allers-retours sont programmés chaque semaine.


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  • Le Japon accueille chaque année un nombre croissant d’investissements directs étrangers.

    Le flux des investissements directs au Japon est en constante augmentation depuis plusieurs années, sous l’effet de la déréglementation, mais également de la volonté exprimée par le Premier ministre Koizumi lors d’une déclaration de politique générale en janvier 2006 de quadrupler les investissements étrangers au Japon avant la fin de 2011, par rapport à leur niveau de 2001. La France a montré combien le Japon était une destination possible, en y devenant en 1999 le deuxième investisseur étranger, avec 17% du stock, derrière les Etats-Unis (40%) mais loin devant l’Allemagne et le Royaume Uni.


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  • Le Japon offre des infrastructures efficaces au service des activités économiques.

    Outre ses 20 aéroports internationaux disséminés sur tout le territoire et ses liaisons ferroviaires à grande vitesse reliant les différentes métropoles du pays, le Japon bénéficie d’une densité routière parmi les plus élevées au monde (3,10km par km2, contre 1,62 en France et 0,65 aux Etats-Unis). A la pointe sur les technologies de l’information et de la communication, le Japon a connu un développement remarquable du taux de pénétration de l’internet haut débit, aujourd’hui accessible à un coût limité. Le nombre d’abonnés est ainsi passé de 3,8 millions à plus de 16 millions entre 2002 et

    2004 et le tarif d’abonnement exprimé en dollar par kilobit est de 0,09 au Japon contre 10,05 en France. Enfin, le taux de pénétration du téléphone mobile de troisième génération, disponible dès la fin de 2002 – et sur lequel on a désormais accès à la télévision numérique terrestre - montre l’engouement des Japonais pour les nouvelles technologies.


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  • Le Japon est un Etat de droit qui offre des règles claires pour un environnement d’affaires sûr et stable.

    Les années 1990 ont été l’occasion de clarifier des règles souvent présentées comme peu claires, surtout pour les investisseurs étrangers. Tant le droit des sociétés que les pratiques capitalistiques ont largement évolué. Ceci s’est notamment traduit par un alignement progressif sur les règles de corporate governance en vigueur dans la plupart de pays de l’OCDE, mais aussi par un recul du système des participations croisées et un désengagement des investisseurs institutionnels : leur part dans le total des titres en circulation à la bourse de Tokyo est passée de 46% en 1992 à 24% aujourd’hui. Ces caractéristiques permettent au Japon d’être parmi les pays les plus sûrs, noté A1 par la COFACE. Les incidents de paiement y sont d’ailleurs à un niveau comparable à celui des Pays-Bas ou de l’Allemagne.


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