• Il est possible de citer :

    L’UI Zensen: Fédération japonaise des travailleurs du  textile de la chimie, de l’agroalimentaire, et du commerce.

     

    Jidôsha Sôren : Confédération japonaise des travailleurs de  l’automobile.

     

     

    Service Ryûtsû Rengô : Fédération japonaise des travailleurs des services et de la distribution.

     

    JPU : Fédération japonaise des travailleurs des postes.

     

     

    Un'yû Rôren : Fédération japonaise des travailleurs des transports.

     

     

    Toshikô : Fédération japonaise des travailleurs municipaux des transports.

     

     

    Kôkû Rengô : Fédération japonaise des industries de l’aviation.


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  • Nokyô : L’Union centrale des Coopératives Agricoles naquit en 1947. En 1980 cette organisation avait un bureau dans chaque ville rurale. La « Nokyô » a toujours milité pour un soutien gouvernemental au prix du riz, pour l’autosuffisance de la production agricole et contre les importations à bas prix concurrençant les produits japonais sur le marché  intérieur.

    La « Nokyô » est une alliée traditionnelle du PLD, même si des tensions palpables sont apparues suite aux négociations américano-japonaises concernant le bœuf et l’orange.


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  • La plupart des organisations représentatives de ce secteur d’activité sont favorables au PLD. Il en va ainsi de la plus puissante d’entre elles, la Chambre de commerce et de l’industrie du Japon (« Nihon Shôkô Kaigisho » nommée aussi « Nisshô ».  La « Nisshô » fondé en 1922 puise ses racines dans la création, en 1878, de la Chambre de commerce et de l’industrie de Tokyo.


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  • Nippon Keidanren : Cette puissante organisation, née en mai 2002, fusionne depuis cette date le « Keidanren » et le « Nikkeiren ». Elle revendique 1 662 membres dont 1 351 entreprises, 130 unions industrielles et 47 organisations patronales. Cette organisation est proche du PLD (Parti Libéral Démocrate).

     

    Keizei Dantai Rengô-kai (dénommé Keidanren, signifiant : « Fédération des organisations économiques »). Le Keizei Dantai Rengô-kai était une puissante fédération patronale instituée en 1946. Elle regroupait en son sein plus d’une centaine d’entreprises parmi les plus importantes de l’archipel (Mitsubishi, Nissan, Sumitomo…). Elle travaillait en étroite collaboration avec le « MITI » (Ministry of International Trade and Industry).

     

    Nikkeiren:  Cette Fédération des Associations Patronales, fondée en 1948, regroupait une cinquantaine de groupes d’entreprises et plus de 45 organisations patronales.

     

    Keizai Dôyû Kai: Ce « Comité Japonais pour le Développement Economique » fut créé en 1946. Elle regroupe des « managers » à titre individuel plus que des associations contrairement au « Keidanren » et du  « Nikkeiren ».  Ses membres sont de tendance plutôt libérale et plus « jeunes » qu’au sein du « Keidanren » et du  « Nikkeiren ».


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  • Yûaikai. Cette fédération syndicale à l’histoire mouvementée est aujourd’hui dissoute. Elle fut fondée en 1912 par Suzuki Bunji. Cette organisation prit par la suite divers noms (Dai Nippon Sôdômei Yûaikai en 1919,  Nihon Rôdô Sôdômei en 1921). Elle est plus connue sous le  nom de « Sôdômei » (Fédération Japonaise des Travailleurs). Cette fédération syndicale disparaîtra en 1964. Nombre de ses membres adhéreront alors à  la « Sôdômei » fédération syndicale nouvellement créée.

    Zen Nihon Rôdô Sôdômei. Nommée aussi « Dômei » (Fédération japonaise des travailleurs). Cette puissante fédération syndicale de salariés était la résultante de l’union de plusieurs syndicats provenant de la « Sôdômei » et de sa « concurrente » la « Sôhyô ». Elle était apparentée au PSD (Partie Socialiste Démocratique) et revendiquait plus de 2 500 000 membres provenant pour l’essentiel du secteur privé. Elle fusionnera en 1987 avec d’autres  organisations pour former le « Rengô ».

    Nihon Rôdô Kumiai Sô Hyôgikai (日本労働組合総評議会). Connu aussi sous le nom de « Sôhyô » (Conseil Général des Syndicats). Fondée en 1950, c’était l’une des plus grandes fédération syndicale japonaise avant l’apparition du « Rengô ». Elle représentait, par la réunion de plus d’une cinquantaine de syndicats, plus de 4 500 000 travailleurs provenant essentiellement du secteur public. La « Sôhyô » rejoindra le « Rengô » en 1990.

    Rengô (連合). Cette fédération de fédération est l’aboutissement du long processus d’union des syndicats japonais. Non communiste et modérée, cet organisme est aujourd’hui le troisième syndicat mondial par le nombre de ses adhérents (8 millions de membres lors de sa création, plus de 6.8 millions aujourd’hui). Fondée en novembre 1987, elle regroupe plus d’une cinquantaine d’organisations.


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